courant-d-air
"Le malheur est père du bonheur de demain."
courant-d-air
"Le malheur est père du bonheur de demain."
Lundi 18 janvier 2016 à 18:54
Parfois, j'aime bien contempler ma vie de l'extérieur et me dire "tiens, regarde, c'est le visage de ta prochaine illusion".
Jeudi 14 août 2014 à 0:11
Je vais avoir besoin de tellement de forces. Année après année je ne fais que compter les jours qui me séparent d'une accalmie provisoire, mais chaque fois j'ai conscience de l'absurdité d'un tel compte à rebours. Cette fois c'est de l'épique qu'il me faudrait, de l'héroïque. Car enfin, c'est le boulot qu'on ne commence jamais qui est le plus long à terminer, n'est-ce pas. Mais là où la volonté ne manque pas, une voie s'ouvre. Peut-être.
Dimanche 10 novembre 2013 à 23:23
I can see behind the doors that closed many years ago.
I can smell the leaves that fall and burry in the soil.
To the outside, the dead leaves lay on the lawn,
For they don't have trees to hang upon.
I can smell the leaves that fall and burry in the soil.
To the outside, the dead leaves lay on the lawn,
For they don't have trees to hang upon.
L'angoisse. Etre libre de partir, mais ne pas pouvoir s'y résoudre. Rester, se dessécher le cerveau, se demander si un jour tout sera normal. Si on oubliera, si on arrivera à se construire. Qui fera encore partie du décor.
Dimanche 2 juin 2013 à 22:09
Le cercle vicieux de l'auto-sabotage. Je ne m'en sors pas, je ne sais pas quoi faire. J'ai tellement peur de l'échec que je m'y précipite toute seule, pour lui donner une raison, me trouver excuse, pour pouvoir me dire "en même temps tu l'as cherché, ce n'est pas que tu ne pouvais pas, c'est que tu ne voulais pas y arriver". Ou peut-être que c'est la réussite que je crains le plus, grandir définitivement et devenir adulte. Ca me rend physiquement malade.