courant-d-air

"Le malheur est père du bonheur de demain."

Mardi 10 avril 2007 à 15:44




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 Minerva ! Oui, ma guitare a un nom.

Je me rappelle qu'un jour, quand j'avais cinq ans, mon père m'a dit : "Assieds-toi là, près du piano, je vais t'apprendre ce morceau, ton premier cours est demain." Ah bon. Bien, parfait.  Plus de dix ans après, j'ai beaucoup changé. J'ai l'impression que ma prof, elle, est toujours restée la même. Nous nous sommes mises au violoncelle au même moment. Georges et Léopold s'entendent très bien. Minerva est arrivée à la maison bien plus tard, en même temps que ma passion pour le chant. En bref, on peut dire que je n'aurai jamais fini.

 




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Mardi 10 avril 2007 à 14:37





Instants enfermés dans des prisons éternelles,
Harmonies transportant le coeur dans le passé
Et le blessant de tout ce qui aurait pu être.

 


Dimanche 18 mars 2007 à 22:09

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Le plus grand bonheur, c'est ça.


Dimanche 18 mars 2007 à 21:33


Je n'aime pas les gens. Notamment la nana qui s'assoit en face de moi dans le RER parce qu'elle veut être à côté de la fenêtre alors que d'autres places sont libres et qui sort ensuite son Big Mac qu'elle mange de façon dégueulasse en se mettant de la sauce orange partout, celle nana là, je la déteste. Tout comme le mec qui pisse devant la porte du train juste avant mon arrêt. En outre, je hais ce type à l'aéroport de Lannion qui m'a demandé d'enlever mes chaussures et qui a fouillé dans mes affaires jusqu'à sortir mes tampons de leur boîte. Alors que j'ai fait le trajet Frankfurt - Cape Town avec des ciseaux dans mon bagage à main.


Il y a pourtant des personnes sur lesquelles je peux compter. Vous saisissez la différence entre un gen et une personne maintenant ? Je rêve d'une grande collocation avec mes personnes et d'une chambre assonorisée pour pouvoir être désespérément seule parfois et chanter sans avoir peur de casser les oreilles des voisins. Ces personnes là acceptent les différences des autres personnes, et les aident dans les moments difficiles. Elles sont peu nombreuses, mais infiniment précieuses. Et elles savent rire d'elles-mêmes. Je ne leur dis jamais.


Il y a des degrés et des étapes dans la connaissance qu'on a de quelqu'un. Au premier abord, j'ai l'air simple, à rire pour un rien et à dire que la vie est belle. Ensuite on croit que je suis compliquée et profondément désespérée, mais peu de personnes (oui, même elles) savent que je suis véritablement simple.


J'ai la phobie du répondeur de téléphone. Avoir la personne au bout du fil, passe encore. Mais laisser un message vocal me met dans un état indescriptible d'angoisse. Je ne développe pas plus. En fait je ne sais pas pourquoi j'ai écrit ça ici. Passons.



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Je voudrais qu'on me trouve opaque.


Dimanche 18 mars 2007 à 21:08





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Il l'aimait d'un amour qui n'était qu'un battement de cils dans cette comédie.

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